Elle fait un nouvel examen et me dit : je suis sure que vous avez une
"vestibulite vulvaire".
Enfin un nom.... et quelques précisions :
"C'est une maladie, ce n'est pas dans votre tête mais nous ne savons pas comment ça vient ni comment la guérir."
Sur le moment j'étais tellement contente de connaître le nom de ma maladie que je n'ai pas bien saisi la profondeur du "mais nous ne savons pas comment ça vient ni comment la guérir."
Avec le recul je sais qu'en ce mois de janvier 2006, cette gynécologue dévouée et curieuse m'a fait gagner un temps précieux. Chance que de nombreuses femmes, comme j'allais le découvrir plus tard, n'ont pas eue!